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ATELIER 59 CHEZ GHISLAINE
Faire un texte avec les mots :
Apparence, file, situation, secret,
cesser, devoir, offrir, entrer.
Ou
Choisir 8 mots ou plus
qui contiennent « oui ».
Et bien LOUIS, sous ton apparence de petit garçon TROUILLARD, tu caches bien ton jeu.
Tu n'es qu'une FRIPOUILLE, oui, une fripouille, allez file dans ta chambre faire tes devoirs.
Son père VERROUILLE le porte et me dit, il va falloir cesser de tout lui passer, cette situation ne peut plus durer.
Cette fois il est allé trop loin. Il mériterait une DEROUILLEE.
Ce n'est un secret pour personne, Louis aime les chiens, alors pour son anniversaire
sa marraine lui a offert un joli petit chien avec de longs poils soyeux un petit bichon.
Il l'avait appelé GRIBOUILLE.
Je reviens du travail comme d'habitude vers 16 H, j'entre dans la cuisine et là...que vois-je?
"Monsieur Louis" lui avait coupé tous les poils. le pauvre il en était tout DEPOUILLE.
Le petit Gribouille tout tremblant s'était ENFOUI sous sa couverture dans son panier.
Cette situation ne peut plus durer.
Il va falloir sévir.
S'est AGENOUILLEE que j'ai ramassé pendant plus d'une heure ces petites touffes de poils.
Ils me CHATOUILLAIENT les narines, moi qui suis allergique à tout !
Et bien ce soir pour le souper pas de TAMBOUILLE, j'suis trop fatiguée on mangera la RATATOUILLE de poireaux qui restait d'hier.
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Commentaires
Oh le pauvre Gribouille tout dépoilu (rires)
Tu sais Lili que je suis sure que cela est déjà arrivé pour de vrai !
Merci pour cette participation plein d'humour
j'adore les anecdotes hi hi hi
Bisous de Nice ma Lili sous la pluie
Oh le pauvre bichon , en effet il ne devait pas être ravi d'être privé de sa couverture de poils .
Bien mené ton texte Lili pour ce défi .
Pour les feuilles des arbres oui tu as raison nous avons aussi une dizaine de jours de retard par rapport à l'année dernière .
Bonne journée
Bisous
Bonjour Lili,
Ton billet m'a rappelé un fait cocasse: J'étais jeune et nous avions un épagneul chez nous. Je trouvais qu'il avait trop chaud, l'été, et j'ai donc décidé de lui raser les poils avec l'équipement de barbier de mon père. Le pauvre Tobi, sans poils, avait l'air d'un squelette ambulant. On riait à en pleurer et le chien, insulté, allait se cacher. On le voyait seulement quand il venait manger dans sa gamelle. Pauvre Tobi, il m'en a voulu longtemps pour cet affront.....
Bonne journée.....ton ami, Jean-Claude
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Bravo Lili ! J'avais hâte de t'y lire, tu sais !!!
J'♥ ! Dès la lecture de ton commentaire sur mon blog, je suis accourue !
Bonne soirée,
Bisous♥